Cannibales

Régis Jauffret

Seuil

  • Conseillé par
    28 octobre 2016

    Indigeste

    Ebouriffant certes, mais très vite agaçant par sa répétition de (bons) mots et cette orgie de métaphores quelquefois d'ailleurs fort douteuses. J'ose dire, puisque les autres lecteurs hésitent entre aimer et détester, j'ose dire que je trouve que 10 pages auraient été bien suffisantes pour ce jeu de ping pong verbal. J'ai souri et ri, il faut bien l'avouer mais franchement par la suite, j'ai tourné les pages afin de voir si oui ou non elles allaient massacrer cet homme dont on ne sait finalement pas grand chose sinon qu'il n'aime pas les femmes comme celles-ci auraient envie d'être aimées.
    Tout cela pour dire que je vais vite me plonger dans une autre lecture.


  • Conseillé par (Libraire)
    18 août 2016

    Très savoureux !!

    Une épaule de sarcasme
    Une cuisse d'ironie
    Une joue de cruauté
    Une hanche de plaisir ...
    Devenez "cannibale" sans plus attendre !!!
    Ce roman est un régal !!


  • 16 août 2016

    Cannibales

    Artiste peintre de 24 ans, Noémie vient de rompre avec un architecte, 30 ans plus âgés qu’elle. Parallèlement, elle envoie une lettre à la mère de son ancien amant pour se confondre en excuses d’avoir rompu. De ce courrier va commencer une correspondance qui finira par tisser des liens, très vite diaboliques, entre les 2 femmes ; et pourquoi pas s’en débarrasser et pourquoi pas en le mangeant cuit à la broche. Contrairement à ce que pourrait faire penser ce résumé, ce roman est un roman d’amour. Les 2 femmes sont, à des degrés divers, des grandes amoureuses, la mère dans le souvenir du père de son fils, Noémie par ces nombreuses histoires d’amour. Et le fils, lui aussi, via des missives envoyées simultanément aux 2 femmes, exprime son grand amour pour Noémie.