- EAN13
- 9782757898123
- ISBN
- 978-2-7578-9812-3
- Éditeur
- Points
- Date de publication
- 09/2023
- Collection
- Points (1)
- Nombre de pages
- 192
- Dimensions
- 17,8 x 11 x 1,6 cm
- Poids
- 110 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
-
7.99
Un prénom pour la vie ?
« Ce que je veux moi, c'est porter le prénom que j'ai reçu à la naissance. Sans le cacher, sans le maquiller, sans le modifier. Sans en avoir peur. »
Elle est née Polina, en France elle devient Pauline. Polina en URSS, Pauline à Saint-Étienne. Elle se dédouble. D'un côté, la Russie de l'enfance, celle de la datcha, de l'appartement communautaire où les générations se mélangent, celle des grands-parents inoubliables et de Tiotia Nina. De l'autre, la France, celle de la materneltchik, des mots qu'il faut conquérir et des Minikeums. Il lui faudra tenir sa langue sans trahir ni oublier.
« Une entrée fracassante en littérature. »
Augustin Trapenard, La Grande Librairie
Née à Moscou, Polina Panassenko est auteure, traductrice et comédienne. En 2015, elle a publié Polina Grigorievna, une enquête parue aux éditions Objet Livre. Tenir sa langue est son premier roman, il a été couronné par le prix Femina des lycéens 2022.
« Ce que je veux moi, c'est porter le prénom que j'ai reçu à la naissance. Sans le cacher, sans le maquiller, sans le modifier. Sans en avoir peur. »
Elle est née Polina, en France elle devient Pauline. Polina en URSS, Pauline à Saint-Étienne. Elle se dédouble. D'un côté, la Russie de l'enfance, celle de la datcha, de l'appartement communautaire où les générations se mélangent, celle des grands-parents inoubliables et de Tiotia Nina. De l'autre, la France, celle de la materneltchik, des mots qu'il faut conquérir et des Minikeums. Il lui faudra tenir sa langue sans trahir ni oublier.
« Une entrée fracassante en littérature. »
Augustin Trapenard, La Grande Librairie
Née à Moscou, Polina Panassenko est auteure, traductrice et comédienne. En 2015, elle a publié Polina Grigorievna, une enquête parue aux éditions Objet Livre. Tenir sa langue est son premier roman, il a été couronné par le prix Femina des lycéens 2022.
Commentaires des lecteurs
Coup de cœur de la chouette
"L'accent c'est ma langue maternelle." Vivre entre deux langues, deux pays, deux cultures. La Russie et la France. La datcha et Saint-Étienne. Les minikakashki et la raclette. Léonid Outiossov et Joe Dassin. Polina Panassenko exprime ce déchirement identitaire de manière ...
Lire la suite