- EAN13
- 9782729711580
- Éditeur
- Presses Universitaires de Lyon
- Date de publication
- 29/11/2019
- Collection
- Hors collection
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Le récit du commun
L’histoire nationale racontée par les élèves
Presses Universitaires de Lyon
Hors collection
Autre version disponible
Cet ouvrage collectif présente les résultats d’une enquête internationale
menée auprès d’environ 7 000 élèves âgés de 11 à 19 ans, à qui il a été
demandé de raconter l’histoire nationale. Des élèves français, suisses,
catalans, allemands ont répondu à un questionnaire et raconté librement « leur
» histoire nationale. Contre les idées reçues d’un manque de connaissances
historiques et de l’absence de tout récit commun, l’enquête dévoile des formes
de narration, des organisateurs du récit et des contenus partagés, une
véritable trame commune. L’analyse de ces formes et contenus précise leurs
points forts, mais aussi les absences ou les spécificités nationales, et
montre comment les savoirs scolaires coexistent avec d’autres sources de
connaissances. Sont étudiées en particulier les places respectives et les
fonctions du politique, de la religion, de la guerre, dans ces récits qui
témoignent d’un imaginaire national. Un effet « territorial » est enfin mis en
valeur, à la fois moins important que prévu en France et significatif à
l’échelle des pays. Sensibles au contexte, ces récits sont la manifestation
juvénile d’une conscience historique en formation, qui s’exprime selon des
formes inédites.
menée auprès d’environ 7 000 élèves âgés de 11 à 19 ans, à qui il a été
demandé de raconter l’histoire nationale. Des élèves français, suisses,
catalans, allemands ont répondu à un questionnaire et raconté librement « leur
» histoire nationale. Contre les idées reçues d’un manque de connaissances
historiques et de l’absence de tout récit commun, l’enquête dévoile des formes
de narration, des organisateurs du récit et des contenus partagés, une
véritable trame commune. L’analyse de ces formes et contenus précise leurs
points forts, mais aussi les absences ou les spécificités nationales, et
montre comment les savoirs scolaires coexistent avec d’autres sources de
connaissances. Sont étudiées en particulier les places respectives et les
fonctions du politique, de la religion, de la guerre, dans ces récits qui
témoignent d’un imaginaire national. Un effet « territorial » est enfin mis en
valeur, à la fois moins important que prévu en France et significatif à
l’échelle des pays. Sensibles au contexte, ces récits sont la manifestation
juvénile d’une conscience historique en formation, qui s’exprime selon des
formes inédites.
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