Les hommes cruels ne courent pas les rues

Katherine Pancol

Pointdeux

  • Conseillé par
    9 novembre 2011

    J'ai retrouvé avec plaisir l'écriture et une héroïne de Katherine Pancol. Toujours la même, moderne et en quête d'amour, évoluant dans la partie aisée de la société. Dans une histoire qui se déroule sur quelques centaines de pages, très ramassée, par conséquent.

    Cette fois-ci, le récit alterne entre le présent de l'héroïne et son histoire avec son père. Une histoire pleine de joies et de trahisons : il abandonne sa famille et sa fille qu'il gâte pourtant à chaque fois qu'il touche sa paye. Un père mort du cancer dans d'atroces souffrances que seule sa fille à accompagné. Un père, pourtant mort, qui ne la lâche pas. D'où sa difficultée à se laisser tomber amoureuse malgré quelques aventures assez "hot" lors de rencontres d'un soir.

    J'ai aimé la déambulation de l'héroïne dans les rues de New-York dont j'ai goûté le parfum de nouveau.

    J'ai aimé sa façon de voir les femmes de cette ville "Nikée" pour aller plus vite, gagner plus d'argent. Heureusement, la narratrice garde sa distance très française par rapport à ces femmes.

    L'image que je retiendrai :

    Celle de la serveuse de Bloomi's, toujours la même, qui donne du "Honey" à toutes ses clientes d'un air détaché mais qui ne se souvient d'aucune.

    http://motamots.canalblog.com/archives/2011/10/31/22522554.html